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CT AN    
28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 11:36

 

Walwari est consterné par la décision prise par le président du conseil général, de bloquer la  construction de 2 collèges prévus à Apatou et à Kourou.

Cette décision est incompréhensible dans un contexte d’accroissement démographique de 4% avec une forte dynamique dans l’Ouest guyanais et de besoins considérables en matière d’éducation et de formation.

Les arbitrages nécessaires dans une période de « sérieux budgétaire » ne doivent pas pour autant, sacrifier les plus jeunes qui sont déjà durement éprouvés par les problèmes de chômage et l’absence de perspectives.

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 11:28

 

Walwari se félicite des opérations conjointement menées en mer, par la France et le Brésil, pour lutter contre la pêche illégale et le pillage de la ressource halieutique.

 

Avec constance Walwari a défendu que la voie de la coopération régionale est essentielle pour lutter contre les activités illégales pratiquées par des ressortissants des pays voisins.

  

Les opérations en cours répondent aux engagements pris par le gouvernement et rappelés récemment encore par madame la garde des sceaux, ministre de la justice.

 

Walwari souhaite que ces opérations conjointes s’inscrivent dans la durée pour l’éradication de la pêche illégale. Walwari souhaite des opérations analogues avec le Surinam pour une surveillance complète des zones frontalières.

 

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 20:51

Au cœur de la Guyane, le plus grand parc national français s’étend sur 2 millions d’ha. Le projet de charte soumis à enquête publique propose, une zone dite de « libre adhésion » de 1,36 millions d’ha pour protéger le parc naturel. La signature de la charte rapporte à la commune des moyens techniques et financiers supplémentaires, ainsi que l’appui de l’établissement public du parc (EPPAG).


Pour quatre raisons, Walwari demande la suppression de la zone de libre adhésion.


1/ La contribution de la Guyane est substantielle. Elle prend part à la protection d’un patrimoine biologique mondial par la sanctuarisation de 40% de son territoire. Cette zone de cœur du parc s’étend sur tout l’intérieur de Camopi à Papaïchton et Maripasoula en passant par Saint-Elie et Saül. Les communes doivent souscrire à une protection stricte des écosystèmes naturels et renoncer de facto, à agir sur la majeure partie de leur territoire.


2/ Une zone de libre adhésion est inutile écologiquement. Il existe un réseau d’espaces protégés de 500 000 ha qui concourt à la protection du parc depuis longtemps. Les objectifs prévus pour la zone de libre adhésion (par exemple : favoriser l’utilisation durable des ressources naturelles, lutter contre l’orpaillage illégal …) ne sont pas spécifiques ; ils valent partout et doivent donc être respectés communément pour le développement urbain et économique de la Guyane.


3/ Le principe de décentralisation doit être respecté. L’adhésion aurait pour conséquence de mettre cinq communes sous tutelle administrative de l’EPPAG.  Ce serait, pour les maires et leurs conseils municipaux, choisir de ne pas exercer leurs pleins pouvoirs locaux et leur compétence territoriale. Ce serait revenir au territoire de l’Inini de 1930. La durée prévue de l’adhésion est de 10 ans. En revanche, rien sur comment on sort de la charte en cours de route si une commune ne s’y retrouve pas.


4/ La solidarité du parc est à bon droit. L’essentiel des territoires des communes de l’intérieur forme le parc. Il est pour cela inacceptable de contraindre les maires et les conseils municipaux d’intégrer une zone de libre adhésion s’ils veulent obtenir un soutien de l’EPPAG en dehors du cœur du parc. Pour fonctionner et se développer, les municipalités doivent bénéficier des ressources humaines et des moyens techniques et financiers de l’EPPAG sans autre condition.


Walwari considère que les principes territoriaux de solidarité, de complémentarité et de justice doivent se manifester sur l’ensemble du territoire car c’est la sagesse et le savoir-faire des générations qui nous ont précédées qui ont « extraordinairement préservé » l’environnement naturel qui fait la valeur du Parc national. Enfin, que nous résidions sur le littoral ou dans l’intérieur, c’est collectivement que les guyanais consentent à cet effort de protection de la diversité biologique mondiale.

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 20:07

Walwari est sensible aux préoccupations des pêcheurs et des armateurs confrontés à l’insécurité de la piraterie en mer et aux effets négatifs des pratiques illégales depuis plus de 10 ans.

La pêche est un secteur stratégique pour l’économie. C’est aussi un élément important de notre alimentation.

Les moyens nécessaires doivent être dégagés par l’État et la Région, chacun dans leurs compétences propres et partagées, pour renforcer le dispositif de contrôle et de surveillance de notre espace maritime ainsi que pour moderniser la pêche guyanaise et assurer sa compétitivité.

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 18:15

Walwari apporte un soutien, appuyé et sans faille, à la candidature de Antoine Primerose, candidat à la présidence de l’Université des Antilles-Guyane (UAG).

 

Dans notre espace antillo-guyanais, la Guyane connaît la démographie la plus dynamique et fournira la majeure partie des effectifs d’étudiants. Les besoins du développement nécessitent une offre de formation adaptée à la réalité socio-économique guyanaise. Walwari estime nécessaire d’aller progressivement vers l’achèvement du processus de 1996 pour une université de plein exercice.

 

La présidence confiée au chercheur Antoine Primerose serait un signe fort dans le processus de renforcement du pôle universitaire de Guyane.

  

 

Cayenne, le 23 janvier  2013

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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 09:47

Nouveau soubresaut sur la question minière, le cœur de la Guyane palpite au rythme des décisions entourant la possibilité d’exploitation par une société dénommée REXMA,  d’une mine d’or située dans le secteur de la crique Limonade.

 

Les habitants de Saül se sont exprimés contre ce projet REXMA qui se situe dans un périmètre de 10 km autour bourg de Saül. Cet avis a reçu le soutien de beaucoup d’élus et de trois parlementaires. Il est revendiqué, en dedans comme au dehors, par les ONG de protection de l’environnement.

 

Nous respectons l’avis des habitants qui doit être impérativement pris en compte avant de statuer sur l’autorisation ultime à mener des travaux demandé par REXMA.

 

Pour autant, au-delà de la question immédiate, Walwari a la profonde conviction qu’il faut poser autrement les termes du débat. La problématique du développement économique, social (taux de chômage record, absence de perspective d’emplois nouveaux dans le secteur productif) doit être traitée avec la même insistance que la question de la protection de l’environnement en Guyane.

 

Quelles sont les marges de manœuvre en faveur du développement urbain, agricole et industrielle dans ce réseau extrêmement dense d’espaces protégés auquel participe le Parc amazonien guyanais de 2 millions d’hectares ?

 

Souhaitons-nous accompagner les tentatives de « mise sous cloche » ou de « sanctuarisation » du territoire guyanais ? Si oui, quelles contreparties ? Bénéficierions-nous d’une économie des écosystèmes protégés ? Tirerons-nous des avantages tirés des ressources génétiques de notre biodiversité extraordinairement préservée ?

 

Dans la période récente, qu’observe-t-on comme production de la logique de « réserve » en termes de bien-vivre des populations et d’intégrité du territoire ?

 

Walwari est clairement favorable à ce que l’on s’inscrive dans un contrat de développement économique et social adossé sur l’exploitation durable des ressources minières (pétrolière et aurifère) en gérant les risques inhérents à toute activité humaine.

Il y a des solutions pour gérer la coexistence des activités aurifères dont l’exploitation est légalement autorisée. Ces activités légales sont les seules qui peuvent être rigoureusement contrôlées et maitrisées sur le respect des droits du travail et de l’environnement. Elles donnent aussi des opportunités d’occuper et d’aménager le territoire plutôt que de le laisser à la prédation des pratiques illégales (insécurité et pollutions). 

 

Dans le cas du projet REXMA, une autre approche plus globale pourrait consister à chercher des solutions pour intégrer l’activité aurifère en imposant les conditions d’installation de la mine. Quelles sont les opportunités d’emplois directs et indirects ou encore quels investissements en faveur d’une dynamique d’évolution urbaine (par exemple, la régularité de la desserte aérienne et la modernisation et l’entretien des équipements publics) ? Quelles sont les articulations possibles avec les activités touristiques, agricoles et autres ? A l’échelle régionale, que peut-être une approche liant le désenclavement de la zone Saül, Régina, Saint-Georges, à partir de Bélizon, sur un schéma d’implantation minière ?

 

La présence de mine à proximité de ville n'est pas une nouveauté dans l'histoire (cas d’ORO PRETO au Brésil et de GRANADA au Canada ; Saül a une filiation avec les premiers cycles de l’or).L’articulation de la mine avec les projets des territoires et d’autres activités économiques (agriculture, tourisme, services, …) est possible. Tout dépend du cahier des charges à imposer à la société minière en contrepartie des avantages que la mine trouve à se fixer pas trop loin d’un centre où il y a des services et des infrastructures disponibles. La sociabilité de la mine augmente à mesure que l’on se rapproche de centre de vie où il y a du lien social. L’attractivité de la mine et de ses métiers se pose pour chacun et surtout pour les plus jeunes qui arriveront bientôt en nombre sur le marché du travail. L’attractivité des activités aurifères s’atténue au mesure que l’on s’éloigne des lieux de vie. Force est de constater que des sites isolés en pleine forêt démotivent une bonne part des volontaires. Walwari estime que l’isolement et l’enclavement des sites aurifères, nous tiennent éloignés de la maîtrise du secteur minier et des avantages à tirer des ressources minières.

 

Au-delà, Walwari estime que les collectivités publiques devraient prendre des participations dans les sociétés qui exploitent les ressources minières. C’est le moyen le plus évident pour un juste retour des produits des exploitations minières vers le territoire et pour une intégration du secteur minier dans le développement.

Cayenne, le 17 janvier  2013

 

Le Secrétaire général de WALWARI

 

 

- Document remis à des journaliste lors de la conférence de presse du 17 janvier 2013

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 19:58

Walwari déplore un congrès des élus régionaux et départementaux dénaturé car réduit à un débat sans vote. A l’évidence, il n’y a pas de volonté de la présidence du conseil régional de donner de l’envergure politique à cette institution qui est pourtant, importante pour la démocratie locale.

Un congrès a été convoqué le 19 décembre pour la préparation de la future collectivité unique. Il s'est mué en débat sans vote avec sur la table : 2 projets d’ordonnance déjà soumis au Conseil des ministres il y a quelques semaines – l’un sur les questions de personnel, l’autre sur le rapprochement des comptabilités – et des projets des délibérations déjà adoptées par chacune des assemblées.

Or de nombreux sujets méritent des discussions, des explications politiques et des votes.

Sur la gouvernance, le choix actuel d’un futur chef de l’exécutif qui présidera aussi l’assemblée unique est moins démocratique qu’un système ou ce chef de l’exécutif serait responsable devant l’assemblée. S’en accommode-t-on ?

Sur le calendrier de la collectivité unique, il est pris acte du report à 2015 prévu dans le calendrier électoral général. Il reste qu’il faut achever rapidement cette réforme administrative pour avoir des institutions en ordre de marche. Le report prolonge d’un an cette période de transition donc d’incertitude. C’est anxiogène pour tous. Il ne faut pas que 2013-2015 demeure comme 2012 : une période d’immobilisme ! 

Les conseils locaux posent la rétrocession du foncier appartenant au domaine de l’État comme préalable à la mise en place de la collectivité unique.  Quel crédit accorder à ce préalable au-delà de la posture politique ? Quelles dispositions prises par les présidents des collectivités pour concrétiser cette demande auprès de l’État ? Et si l’État dit non, il se passe quoi en réalité ?  Va-t-on vers un blocage des institutions ?

Walwari note que jusque-là les collectivités n’ont pas relayé le travail législatif fait par la députée Christiane Taubira sur cette question foncière (création de l’établissement public d’aménagement foncier et possibilité de cession de terres à titre gratuit). Dans la perspective actuelle, la rétrocession des terres est nécessaire mais plus suffisante. Walwari propose de remettre de la parole politique là où se prennent des décisions qui concernent l’aménagement et l’occupation du territoire ou l’utilisation des sols et du sous-sol (conservatoire du littoral, commission des mines, EPAG, PAG….).

La commission tripartite laisse la part belle au représentant de l’État et à ses fonctionnaires. Les élus locaux y sont minoritaires. Il faut renforcer la parole politique locale au sein de cette commission qui pourrait entendre les chefs de partis.

La commission tripartite n’a pas trouvé de réponse définitive sur qui rémunérera les chefs coutumiers une fois les collectivités fusionnées. Eu égard à leur rôle d’autorité coutumière, Walwari trouverait normal qu’ils continuent d’être pris en charge par le territoire via la future collectivité unique plutôt que par l’État. Cette future collectivité aura à prendre en compte les questions du droit coutumier.

La préparation de la collectivité unique ne doit pas occulter le principal : les collectivités doivent administrer aujourd’hui en répondant aux préoccupations immédiates des citoyens. Il est indispensable que les deux collectivités travaillent sur une politique régionale pour les jeunes, l’emploi, l’aménagement du territoire …. C’est la bonne formule pour agir au bénéfice de nos concitoyens.

 

Cayenne, le 19 décembre 2012

Le Secrétaire général de WALWARI

 

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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 19:43

Le parti politique Walwari dénonce le simulacre de concertation auquel se livre le président du conseil régional sur la réforme du code minier et les fausses déclarations de sa 6ème vice-présidente.

 

Hier dans la matinée, un séminaire sur le cas des ressources on-shore (or en particulier) convoqué à la va-vite, sans ordre du jour, sans précision sur les objectifs et les procédures et surtout sans les documents de travail nécessaires. Dans l’après-midi, une séance de travail à huit-clos de la majorité régionale, sur le cas des ressources (off-shore). Ce matin, c’est par la voix de la 6ème vice-présidente du conseil régional que la position de la majorité régionale s’exprime sur les ondes de Guyane 1ère : la réforme du code minier est affaire de professionnels. Fermer le ban !

Le président entend ainsi rendre un avis du Conseil Régional sur le projet de réforme du code minier élaboré par le gouvernement. Car aucune information ne permet à ce jour de penser qu’un débat aura lieu à l’assemblée régionale.

Cette méthode est illégitime. Elle est partiale. En plus de dénier les prérogatives des institutions régionales (région - département), elle dévoile les intérêts mercantiles de l’exécutif régional au mépris d'une véritable ambition politique et ne répond en rien à l'intérêt général.

En tout état de cause, la majorité régionale qui refuse de reconnaître le secteur minier comme un secteur stratégique en Guyane confisque maintenant le débat démocratique. C’est tout autant les citoyens et leurs représentants élus qui sont trompés et empêchés d’exprimer leurs positions dans le cadre des institutions de la République.

Contrairement aux fausses déclarations de la 6ème vice-présidente du Conseil Régional, plusieurs élus ont participé au séminaire d’hier. Parmi eux, des maires et des élus de l’opposition ; lesquels ont exprimé leur point de vue et formulé des propositions opérationnelles pour la réforme.

L’avis de Walwari sur la réforme du code minier sera rendu public prochainement.

 

 

Cayenne, le 14 décembre 2012

Le Secrétaire général de WALWARI

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6 décembre 2012 4 06 /12 /décembre /2012 15:53

A l’occasion de la Journée internationale des personnes en situation de handicap du 3 décembre, Walwari a tenu une séance de travail avec des experts de la question.

 

Il y a urgence d’appliquer les règles exigeant un égal accès aux équipements et immeubles publics et privés.

 

Il faut aussi considérer l’accès à l’éducation et à la culture par le livre sonore ou en braille et le film en audiodescription, qui sont autant de moyens de compensation indispensables à l’épanouissement de la personne et à son insertion dans la société. Cela participe d’une politique de lutte contre les inégalités et les discriminations sociales.

 

Walwari rend hommage aux associations, aux bénévoles et aux professionnels qui jouent un rôle remarquable dans notre économie sociale et solidaire avec l’aide de leurs tutelles respectives

 

En œuvrant quotidiennement auprès des personnes en situation de handicap, ce tissu associatif génère des emplois immédiatement disponibles dans le secteur médico-social. WALWARI invite vivement la jeunesse à s’y intéresser.

 

 

Cayenne, le 6 décembre 2012

Le Secrétaire général de WALWARI

 

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6 décembre 2012 4 06 /12 /décembre /2012 15:48

Les militants du Mouvement WALWARI se sont rassemblés en Congrès biannuels extraordinaire et ordinaire ce dimanche 24 novembre à SINNAMARY.

Ont pris part aux travaux le Sénateur Maire Jean Etienne ANTOINETTE, le conseiller Général Patrice CLET, Des délégations de militants et sympathisants des communes de Sinnamary, Iracoubo, Saint Laurent et Régina.

Madame Christiane TAUBIRA, Garde Des sceaux et Ministre de la Justice, a fait part à l’assemblée de sa fierté du chemin parcouru duquel « nous pouvons y puiser de l’optimisme pour les défis qui nous attendent et que nous devons savoir relever ».

Le Congrès Extraordinaire a procédé au toilettage et modifications de formes de quelques articles de nos statuts.

Le Congrès Ordinaire a donné quitus au CE en votant à l’unanimité les rapports moraux, d’activités et financiers du Mouvement Walwari et de l’Association de Financement du Mouvement WAlwari.

Le renouvellement du comité Exécutif de 15 membres dont le bureau suivant est issu :

  

Secrétaire Général                      Joël PIED

 

Secrétaire Générale  adjointe   Sarah ALBUKERQUE

 

Trésorier                                       Marie-Dominique LOCUTY

 

Trésorier Adjoint                          Louis LAFONTAINE

 

 Secrétaire Général adjoint pour la diaspora en France          Eric LAFONTAINE            

 

Secrétaire Générale adjointe pour la diaspora à l’Etranger   Nolywé DELANNON

 

Délégué section jeune Génération Walwari                              Xavier CLERVAUX

 

Cette nouvelle équipe a reçu mandat pour bâtir notre projet politique en fixant le CAP sur les échéances électorales de 2014

 

Nous sommes donc prêts à agir dans l’intérêt de la Guyane et pas seulement combattre sans moyen de faire. Nous le ferons avec tous ceux qui partageront nos valeurs ensemble dans le cadre d’un pacte de Gouvernance

   Cayenne, le 25 novembre 2012

Le Secrétaire général de WALWARI

Contact presse : 06 94 23 17 20

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Christiane Taubira   http://www.christiane-taubira.net/

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