28 novembre 2009
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Walwari "dénonce l’imprévision et déplore que la suppression des dessertes scolaires soit considérée par les autorités comme la seule solution pour aménager la circulation et pour la sécurité" [...].
COMMUNIQUE DE PRESSE
Nous ne le croyions pas, mais la machine à remonter le temps existe bel et bien. Elle fait son oeuvre en ramenant la Guyane à l’époque d’avant la départementalisation : un territoire coupé en deux. Cette fois, c’est par la fermeture du pont du Larivot et la faiblesse du réseau routier palliatif.
Les plans se sont succédés, on nous a vanté les performances techniques et l’expertise des services de l’Etat. Le démenti est rude, car il démontre les incapacités ou les négligences dans le suivi et le contrôle de l’ouvrage, ainsi que l’impréparation aux décisions en cas de grosses avaries sur un équipement d’usage courant, et indispensable.
Le Mouvement WALWARI réaffirme que la sécurité des populations doit constituer une priorité pour l’Etat, non pas au sens d’interventions a posteriori, mais au sens d’une grande rigueur dans la maintenance d’infrastructures, évitant a priori que la vie des habitants ne soit exposée en cas de gros dommages. Les préoccupations de l’Etat paraissent davantage au service de ses intérêts stratégiques, au détriment des efforts nécessaires au développement et au progrès social.
Walwari dénonce l’imprévision et déplore que la suppression des dessertes scolaires soit considérée par les autorités comme la seule solution pour aménager la circulation et pour la sécurité, alors qu’elle pénalise encore les enfants et les adolescents qui n’ont pas d’autre moyen de se rendre dans les établissements scolaires.
Ce 28 novembre 2009
Le Secrétaire Général
Joël PIED
COMMUNIQUE DE PRESSE
Nous ne le croyions pas, mais la machine à remonter le temps existe bel et bien. Elle fait son oeuvre en ramenant la Guyane à l’époque d’avant la départementalisation : un territoire coupé en deux. Cette fois, c’est par la fermeture du pont du Larivot et la faiblesse du réseau routier palliatif.
Les plans se sont succédés, on nous a vanté les performances techniques et l’expertise des services de l’Etat. Le démenti est rude, car il démontre les incapacités ou les négligences dans le suivi et le contrôle de l’ouvrage, ainsi que l’impréparation aux décisions en cas de grosses avaries sur un équipement d’usage courant, et indispensable.
Le Mouvement WALWARI réaffirme que la sécurité des populations doit constituer une priorité pour l’Etat, non pas au sens d’interventions a posteriori, mais au sens d’une grande rigueur dans la maintenance d’infrastructures, évitant a priori que la vie des habitants ne soit exposée en cas de gros dommages. Les préoccupations de l’Etat paraissent davantage au service de ses intérêts stratégiques, au détriment des efforts nécessaires au développement et au progrès social.
Walwari dénonce l’imprévision et déplore que la suppression des dessertes scolaires soit considérée par les autorités comme la seule solution pour aménager la circulation et pour la sécurité, alors qu’elle pénalise encore les enfants et les adolescents qui n’ont pas d’autre moyen de se rendre dans les établissements scolaires.
Ce 28 novembre 2009
Le Secrétaire Général
Joël PIED